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La question 1ere que l’on s’est posé en tant que psychiatre du secteur public, c’est ‘ pourquoi les célébrités se détruisent comme certains de nos malades les plus démunis de ce fait qu’elles ont à priori tout pour elle ‘. Ce paradoxes questionnait notre technologie et nos hypothèses et rien dans l’écriture, l’architecture médicale ne semblait avoir la possibilité de y répondre. Les stars et les courageux peuplent notre imaginaire depuis toujours. Cette ivresse est ambivalente, car derrière, se cache un souhait d’acheter et de endommager l’idole.
Qu’on le sens ou pas, la gloire est un phénomène en lien avec la visibilité. Touchant toutes les classes d’âge sociales, elle permet d’apprécier et de s’identifier que ce soit à un sportif, un membre d’une famille supérieure, ou un écrivain par exemple. Ces dernières années, grâce aux réseaux sociaux, tout le monde peut choisir son marbre à la merci de ses envies. En exposant son quotidien, la célébrité contribue à la penchant et à l’identification de ses fans.
Amanda Seyfried ( Mamma Mia !, Time Out ), en thérapie pour passe d’angoisse après sa irrésistible popularité. Kirsten Dunst sélectionnée par Lars von Trier pour incarner l’héroïne dépressive de Melancholia, « du fait que le sujet lui était psychologies ». Carrie Fisher ( Star Wars ), bipolaire commun, couvrant la publicité des électrochocs dans Shockaholic, sa dernière présentation… Depuis peu, la liste des personnes célèbres qui avouent leurs bobos psys se remplit au moins aussi vite que la tente des thérapeutes qui les parlent. « Nous tous un coup de déprime, à un moment ou un autre. Mais nous avons le plus souvent opprobre d’en parler. Je ne jugerai une personne qui ce type de passage à vide », a enfin jurat Kirsten Dunst au magazine Flare, trois ans après son vacance à la clinique Cirque Lodge où elle avait été crue pour dépression. Lindsay Lohan et Eva Mendes l’y avaient précédée.
N’oublions pas que la célébrité, à l’inverse à la popularité, vit le jour de la rencontre de la démocratie et de la société d’utilisation. La renomée n’est de ce fait plus un privilège des rois, des aventuriers ou des coupable de guerre, à présent tous peut prétendre à son quart heure de réputation comme le prophétisait Andy Warhol dans les années 70. Les éventuels médias comme internet et les jeux pc télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu cette idée fortement très grande. Le métaphysicien Roger Caillois disait d’ailleurs déjà en 1958 combien le circonstance est présent lors de la aube des personnes célèbres et combien cette ‘ occase merveilleuse ‘ était efficace au même de la célébrité[1]. En effet tout le monde en regardant sa favori peut rêver et s’entendre : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une société qui marche au réclame, voilà un miracle qui peut toucher semble-t-il le premier parvenu ; une réussite impressionnant qui peut échoir au plus perdre ou au plus pauvre. En cela, la célébrité bafoue la grade implantée, invalide la destinée que sa condition fait peser sur chacun. La démocratisation et la notion de concrétisation de soi sont appartement de l’histoire.
Il y a quelques jours, Mallaury Nataf faisait son retour dans les médias, bien malgré elle. Autrefois star de la série Le Miel et les abeilles puis de Sous le soleil, elle est instant des effets de lumière à l’ombre. Elle en a disposé pour poser une famille. Tout aurait pu se faire figure le mieux si le perte psychologique qui germait déjà en elle n’avait pas bénéficié d’un autre puissant aller-retour de la renommée à l’anonymat pour lui dépouiller son existence. Sept ans après sa participation à la Ferme des personnes célèbres, elle se rapprochait des pigistes pour faire comprendre qu’elle était sans abri. Elle avait remontage la parapet, mais est retournée à la scenario départ. Cette fois-ci, c’est de façon plus claire. Non seulement elle est sans-logis, mais il se raconte qu’elle impulsion dans les ruelle parisiennes en marmonnant des prières dédiées à donner le mauvais oeil. Et pour nimber tout cela, compte-tenu de son état physique, on lui a retiré la garde de ses enfants.
En allant plus loin, les stars peuvent de même secourir aux dieux et aux brave de allégorie dans notre sans connaissance. En prononçant L’Odyssée il y a point, j’ai été frappé de constater à quel espace les dieux du article d’Homère ressemblaient aux célébrités qui peuplent les pages des tabloïds. Narcissiques et suffisant, ils participent à des beuveries endiablées, trompent leurs conjoints, manquent à leur parole et necessitent une attraction en toutes circonstances. Il existe toutefois une différence de dimension : si les Grecs craignaient et vénéraient leurs divinités, les people d’aujourd’hui nous inspirent une épatement engagement de arrogance. Les vedettes sont arrivées au début du XXe siècle; nous pouvons donc estimer qu’elles sont venues rassasier un vide laissé par une autre figure, à la même date.
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