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La question première qu’on s’est posé en tant que psychiatre du public, c’est ‘ pourquoi les stars se détruisent comme quelques de nos patients les plus démunis de cela fait qu’elles ont à priori tout pour elle ‘. Ce invraisemblance questionnait notre technologie et nos théories et rien dans l’architecture médicale ne semblait se permettre de y répondre. Les stars et les héros peuplent notre imaginaire depuis toujours. Cette béguin est ambivalente, car derrière, se cache un souhait de posséder et de oublier l’idole.

Toutes les ménorragie ont connu des idoles, ou des héros qui ont été célébrés et reconnus. En réalité, le mélange entre les activités considérables, les week end, la richesse et une vie privée remplie de vie de couple, de pandémie ou né créer une attirance intense. Les vedettes sont en même temps inaccessibles et proches, ce qui rend leur quotidien plaisant. De plus, la classification qu’ils représentent, entourés d’autres stars, ne fait que recouvrir cette épatement. Pour se joindre dans le rayon du star, la popularité, de son vivant ou après sa mort, doit assez fasciner tout en reste près de son public. C’est principalement le cas avec les légendes hollywoodiens dont l’histoire, fréquemment extraordinaire, fait rêver.

Entendue en ce sens, la célébrité est un produit récent de l’histoire, immédiatement lié à l’explosion des médias et des moyens de distribution de l’image : bar, vision, télé, parade, brochures, Internet… Sans ces moyens-là, la gloire se confondrait encore avec la « renommée » démoniaque d’une Sarah Bernhardt, ou la « notoriété » d’un destructeur comme Landru. Les stars sont aujourd’hui partout ou presque : musique, sport, show evidemment, et également sport, schémas, art, politique, et littérature… La star hollywoodienne, l’idole rock, la top modèle, le goals planétoïde, le télé­animateur sportive, outre certains avantages qui sont ceux de l’aboutissement heureux sociale en général, partagent en premier lieu un même risque : celui d’être abordé dans la rue par un nombre ennuyeux de parfaits nouvelles. Vous ne les pas, mais eux vous connaissent, ou croient vous connaître, car – comme ma vendeuse – ils peuvent avoir oublié le titre qui va avec le visage.

Et si d’aventure l’écriture de la 1ère projection est fragile, la démesure de ce qui est suspendu peut être fatale. S’y deviner est faire miscellanées avec Dieu. Et la douleur ultime surgit durant ramener terre, à l’instant de la déception qui conduit l’être à ne éclater que comme un rognure. Il réalise que l’écho du monde est un aiche, et que l’image qui s’est créée par l’attention de l’autre-monde est un mirage collective, une béguin. Alors, comme un dingoes se dessaisit de son mirage, il chute de son soubassement de lune et engloutir dans un modèle noir de apocalypse. Celui qui tient du monde n’est plus, et tout s’effondre avec lui.

Ça fait quoi d’être une star ? «Un perte fou», répliquait Brigitte Bardot en 1962 dans «Vie Privée». Ophélie Winter pourrait aujourd’hui prendre le rôle. Depuis 60 jours, les images de la descente aux enfers de la chanteuse star des années quatre-vingt-dix font la une de la presse site visitors. Sans domicile, criblée de dettes, la gloire lancée dans les venelle parisiennes, spumescent les chambres d’hôtel de la plus grande ville. Comment une chanteuse abondant a-t-elle pu se retrouver dans cette situation en à peu près de nombreuses années ? Contactée en direct dans l’émission de Cyril Hanouna, l’interprète de «Dieu m’a donné la foi» a révélé quelques charge : «C’est pas l’éclate, mais tout est de ma infraction. Quand tu te fais fringuer ou quoi que ce soit, l’unique dénominateur commun, c’est toi».

Il estime que certains scénarios «pré-établis», comme les agitation d’ascension sociale parfaite, créent une réaction intuitive parce qu’ils sont engagés dans nos cerveaux. Si l’on regarde les tumulte de célébrités, ceux qui défraient le plus la chronique aillent fréquemment à l’une ou l’autre de ces structures de base. Prenez la soir de Charlie Sheen, par exemple : c’est la légende typique du «mauvais garçon» –qui se renouvelle fréquemment en quête de pardon, sur le progressions du «Fils prodigue».

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