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Lancé en 2002, Friendster est à l’origine un site de rencontres, qui permet aux personnes à de découvrir d’amis de leurs amis. On peut y créer un profil, inclure des « mises à jour de statut » et indiquer son humeur. Un service de messagerie permet de plus d’envoyer des messages à des « amis d’amis d’amis ». malheureusement, en 2003, le site connaît un pic de popularité auquel l’entreprise n’est absolument pas concoctée. Les serveurs sont saturés, ce qui se répercute sur les personnes qui commencent à se connecter ailleurs. En 2003, Mark Zuckerberg lance Facemash, décrit comme étant la réponse de l’université de Harvard au réseau Hot or Not. « The Facebook » lui fait suite en 2004. Le site atteint le million d’utilisateurs inscrits cette même année, et abandonne l’élément « the » pour devenir simplement « Facebook » en 2005, après l’achat du secteur « Facebook. com » pour la somme de 200 000 $. À la même époque, un raz-de-marée d’autres sites de réseaux sociaux déferle : LinkedIn fait son apparition, ciblant la communauté des entreprises. Naissent également des sites de partage de photos comme Photobucket et Flickr, le site en ligne social del. ici. ous axé sur le partage de marque-pages Internet et la plateforme aujourd’hui omniprésente de conception de blogs WordPress.
En tête de notre tableau, Squeezie et ses dix-sept millions d’abonnés sur YouTube, trente-quatre millions ( la moitié de la population Française ) tous social medias confondus. Mais Squeezie, c’est aussi le fondateur de sa propre agence d’influenceurs, Bump et le premier influenceur à avoir ( dans quelques mois ) sa statue au Musée Grévin. Et Squeezie, c’est aussi une intervention en plein cours en distanciel de l’ISCPA, l’école partenaire de ffollozz. Aux côtés de Squeezie, la star des influenceuses, Léna Situations : huit millions d’abonnés tous réseaux confondus, 400 000 modèles proposés de son donne « Toujours plus » qui fut meilleure vente de livres pendant un mois, première influenceuse Européenne conviée au Met Gala. Et Léna mènera une Masterclass spécifique organisée par ffollozz, la première école du marketing d’influence, le 12 juillet prochain. A la troisième place, la boite McFly
quand on parle d’influence digitale, les influenceurs technique et dressage ne sont pas à coup sûr les premiers qui nous viennent à l’esprit. Pourtant, ces spécialistes de la vulgarisation comptent des millions de vues sur YouTube et intéressent une grand communauté. Avec des vidéos simples et compréhensibles, ils offrent de la connaissance sur des sujets très variés. Science, histoire, philosophie, de nombreux thèmes sont discutés dans des contenus ludiques et créatifs. Alors que le système éducatif Français s’apprête à connaître de grands changements, les influenceurs science et dressage arrivent à passionner les plus jeunes sur des sujets souvent boudés. D’ailleurs beaucoup marques et entreprises ont très vite remarqué cette intensité. En effet, ces influenceurs sont de plus en plus contactés pour des collaborations et des associations pour véhiculer de l’information ou promouvoir certains produits. Présent depuis 2011 sur YouTube, Dr Nozman compte désormais 3, 6 centaines de milliers d’abonnés sur sa chaîne. Une belle récompense pour ce Breton, qui doit son succès à des vidéos virales et une prestation acharné. Il aborde des discussions comme la biologie, la chimie ou bien encore la mécanique des éléments avec humour et modernité. Un dynamisme qui lui a permis de passionner les plus jeunes sur des sujets au premier abord ennuyeux. C’est en de l’année 2013 que Bruce Benamran découvre, avec son frère, les vidéos de vulgarisation scientifique sur YouTube. l’ensemble de ces contenus étaient alors en anglais, c’est alors que Bruce y voit une opportunité. En effet, il décide de concevoir sa chaîne E-penser et produit sa première vidéo : » La Terre tourne-t-elle autour du soleil ? «. Le succès est immédiat pour cet informaticien passionné de sciences. Avec aujourd’hui près de 1, 2 centaines de milliers d’abonnés sur YouTube, il fait partie des influenceurs méthode et éducation à avoir ouvert la voie en France.
il y a peu d’estimations fiables de la surface de l’industrie des influenceurs. L’une d’entre elles, effectuée en 2020 par le Bureau national des statistiques de Chine, où les influenceurs ont acquis une certaine notoriété plus rapidement qu’en Occident, estimait sa contribution à l’économie à 210 000 000 000 de dollars, soit 1, 4 % du PIB. Comme pour tout ce qui touche au numérique, la pandémie apparait lui avoir donné un coup de fouet, puisque davantage de personnes étaient rivées à leur smartphone pendant une plus grande partie le timing. L’écosystème des influenceurs remet en question les principes traditionnels de la gestion des marques de collection. En plus d’être unidirectionnelles, les campagnes ont eu tendance à être standardisées, immuables et coûteuses. Un groupe exclusif d’actrices claires dotées de pommettes de la bonne forme était censé la constance, ainsi que l’opulence. Le même sourire sur la même photo de la même star hollywoodienne devait inciter les passants à acheter un article pendant de nombreuses années. Julia Roberts et Natalie Portman sont respectivement depuis une décennie les visages des senteurs La Vie est Belle de Lancôme et Miss Dior. Les stars comme les marques ne pensent pas combien d’argent change de mains, mais les sommes se chiffrent en millions de dollars. Selon un rapport, le budget dépensé par LVMH pour la totalité de la campagne Miss Dior s’élève à “moins de 100 centaines de milliers de dollars” l’an dernier.
Si vous utilisez les social medias uniquement pour pousser de la publicité, de la promotion, des financements d’articles ou autres vous ne retirerez pas une grande efficacité des social medias. Cela s’avère logique par rapport au idée de base : parler avec sa communauté. Des publications centrées uniquement sur de la pub / promo vont désintéresser votre audience et vous éloigner d’elle. Cela n’empêche pas de mettre en valeur ses produits et son savoir faire mais dans un situation différent de la publicité, avec un angle informatif, d’échange. Pour faire de la publicité il existe des espaces destinés comme Facebook ads ou Instagram ads. Ils aident à mettre en valeur ses produits et son expérience avec des annonces personnalisées et sponsorisées. Si vous verifiez Instagram et Linkedin vous serez dans deux mondes différents. En effet Instagram a du trafic large, il est plutôt orienté B2C, il est basé sur l’image ( bien qu’il ne faille pas négliger le contenu ), tandis que Linkedin a du trafic plus ciblée “professionnels”, il est orienté btob et nécessite des contenus plus textuels pour communiquer. Certains réseaux peuvent d’avoir des fonctions plutôt passives ou ciblées comme par exemple Twitter, souvent utilisé pour de l’actualité, Linkedin très orienté b2b, Instagram sur lequel on va souvent suivre des marques, Pinterest pour trouver des graphiques ou de l’inspiration, Youtube pour des films et de la vidéo, etc.
1. 7 milliard de personnes emploient au moins un réseau social dans le monde, dont 31 centaines de milliers en France. Pour les sociétés, les réseaux sociaux sont une formidable occasion pour se rendre visible du bout de la jusqu’au bout du monde. Ils permettent de gagner de nouveaux clients, de fidéliser, de communiquer autrement avec sa communauté ou tout simplement de gagner des données. Bien utilisé, le retour sur investissement d’un réseau social est exponentiel ; d’autant que leurs campagnes publicitaires ne coûtent pas forcément assez cher. Mal employés, par contre, l’effet peut être quasi nul, voire ou ultra négatif en cas de bad buzz, ruinant la renommée d’une entreprise en moins de 10 secondes. En bref, les social medias servent plus à raconter son entreprise qu’à vendre en direct ; à manifester ses valeurs, sa vision… Le story telling, le suspense, l’effet teaser…Ces modes de communication permettent de développer une communauté de utilisateurs adeptes de vos valeurs, de distinguer les ambassadeurs les plus aptes à les donner, mais aussi à communiquer autrement avec votre clientèle, non pas en format indicatif et descendant, mais en format communautaire, basé sur l’échange et la prise en compte instantanée des suggestions et critiques pour pouvoir améliorer votre offre. Les réseaux sociaux servent à ça, car ils sont construits en ce sens ; sur un exemplaire de communication communautaire.
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